Marseille l'Italienne, sous la direction de Jean Boutier et Stéphane Mourlane

Résumé : Port méditerranéen, Marseille développe naturellement depuis le Moyen-Âge de forts liens avec la péninsule italienne. C’est cette relation passionnelle, faite d’échanges commerciaux et artistiques, d’influences politiques et surtout d’histoires personnelles, qui est ici racontée. Au-delà du cliché de l’immigré italien, vecteur de tous les fantasmes, se révèle la réalité quotidienne d’une présence italienne de longue date, posant la question d’une « italianité » marseillaise spécifique.

Auteurs : Jean Boutier, directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales, campus de Marseille, centre Norbert-Elias (CNRS, EHESS, Aix-Marseille Université, Avignon Université), Stéphane Mourlane, maître de conférences en histoire contemporaine, Aix-Marseille Université, CNRS, TELEMMe. Isabelle Aillaud, chargée d’action culturelle, Archives municipales de Marseille, Simone Balossino, maître de conférences, Avignon Université, Laurent Bocquillon, professeur de lettres-histoire et doctorant en histoire contemporaine, Université de Franche- Comté, centre Lucien-Febvre, Sylvain Borzillo, conservateur, cabinet des monnaies et médailles de Marseille, Eleonora Canepari, maître de conférences en histoire moderne, Aix-Marseille Univer- sité, CNRS, TELEMMe, Annastella Carrino, professeur d’histoire moderne, Università degli Studi Aldo Moro, Bari, Noëlle Colombié, chargée de projets numériques culturels, Archives municipales de Marseille, Xavier Daumalin, professeur d’histoire contemporaine, Aix-Marseille Université, CNRS, TELEMMe, Paul Dietschy, professeur d’histoire contemporaine, Université de Franche-Comté, centre Lucien-Febvre, Vincent Di Roma, professeur de lettres classiques, Cognac, Linda Guerry, docteur en histoire contemporaine, Institut Convergences Migrations (CNRS, Collège de France, EHESS, EPHE, INED, INSERM, IRD, Université de Paris 1), Audéric Maret, docteur en histoire de l’EHESS, professeur d’histoire et géographie, Paris, Robert Mencherini, professeur honoraire en histoire contemporaine, Aix-Marseille Université, CNRS, TELEMMe, Robert Palmaccio, chercheur indépendant, Marseille, Caroline Pane, professeure d’italien, chargée de cours à l’Université Jean-Moulin Lyon III, docteure en histoire contemporaine et chercheuse associée à l’UMR TELEMMe, Céline Regnard, maître de conférences en histoire contemporaine, Aix-Marseille Uni- versité, CNRS, TELEMMe, Léa Renucci, docteure en histoire de l’EHESS, centre Norbert-Elias (CNRS, EHESS, Aix-Marseille Université, Avignon Université), Anne Richier, docteure en histoire de l’EHESS, ingénieur d’étude, INRAP, Marseille, Émilie Roffidal, chargée de recherche au CNRS, FRAMESPA, Université Toulouse – Jean-Jaurès, CNRS, Matteo Sanfilippo, Professeur d’histoire contemporaine, Università degli Studi della Tuscia, Viterbe, Francesca Sirna, chargée de recherche au CNRS, centre Norbert-Elias (CNRS, EHESS, Aix-Marseille Université, Avignon Université)